PLAN DU LIVRE
I – La digital workplace à quoi ça sert ?
II – Les cinq vecteurs de digitalisation
III – Quelles solutions
IV – Comment la concevoir ?
V – Cas client : le groupe Henner face au Covid
VI – Quelques questions
Ce dossier propose une introduction à l’élaboration et la mise en œuvre de stratégies en matière de « Digital Workplace ». Pourquoi et comment se révèle-t-elle être un vecteur d’accélération de la virtualisation et une réponse aux risques sanitaires et sociaux auxquels nous avons eu affaire ces derniers mois ?
I – La digital workplace à quoi ça sert ?
II – Les cinq vecteurs de digitalisation
III – Quelles solutions
IV – Comment la concevoir ?
V – Cas client : le groupe Henner face au Covid
VI – Quelques questions
Pour concevoir une Workplace il faudra adresser nos 5 principaux vecteurs de digitalisation des entreprises. La méthode est imparable pour être sûr de ce qui lie l’ensemble des solutions qui permettent de répondre à ces enjeux pour déterminer une solution globale. La démarche est globale : en partant des enjeux, on peut déterminer les solutions techniques les plus adéquates en mesurant leur l’impact financier, mais également organisationnel.
Nous évoquions tout ce qui est UTM en cloud, géré par les équipes internes. Dans le panel des outils à disposition, il existe de plus en plus de solutions résolument cloud. Idem en termes de SAV : il existe de plus en plus de fonctionnalités à portée. Il est donc important de bien réfléchir à ce qu’il est possible de faire avec des schémas directeurs. Dans la continuité bien évidemment il y a les d’appels d’offres pour se sourcer et mettre en oeuvre la virtualisation des postes de travail. Puis par la suite, contrôler le tout via une approche FinOps.
Le cloud, est la plupart du temps synonyme de « As a service ». Dans notre approche nous allons donc chercher à rendre opex des dépenses traditionnellement très capex : là où les entreprises achetaient des serveurs, des PC etc., elles passent ici dans du « As a service ». Avec le risque en revanche que cet investissment s’amplifie au fil du temps si on n’y prend garde. D’où la nécessité le mettre sous contrôle à travers le FinOps.
Dans notre exemple de road-map nous donnons un aperçu de cas client : lors de la cartographie et au regard des enjeux et des besoins des clients nos dressons un état des volontés et des manques. Sur certains critères on veut être à 4 sur une échelle de 6… on devra donc combler l’écart observé pour arriver à la cible. Le tout selon les différents enjeux que nous avons caractérisés comme des enjeux principaux. Nous les retrouvons ici : la mobilité – équivalent à Atawad-, la performance, l’ergonomie, l’image de marque, la collaboration… et ce selon les différents grands services de l’entreprise qui ont des besoins éminemment différents. L’utilisation des cinq vecteurs permet de déterminer les scénarios qui répondent le mieux à ces enjeux et de déterminer le plus intéressant. Sachant que le plus intéressant est parfois le plus cher. On cherchera donc un médian comme ici le scénario entouré.
Un exemple de roadmap qui peut se décliner dans des chantiers sonnants et trébuchants, classés par ordre de priorité en fonction de leurs efforts et du gain. Enfin ils sont projetés dans le temps à travers une roadmap calendaire
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